Ce(tte) subtile trope/métaphore mérite d’être remarqué(e) car non seulement l’image constitue un lien entre les deux œuvres mais elle permet aussi, dans ses diverses manifestations, de les différencier.
Un autre point commun, plus difficile à déceler car profondément intégré à chaque œuvre, est le portrait de l’héroïne en oiseau prisonnier. Parmi les nombreux éléments communs au roman de Brontë et au film d’Hitchcock figurent l’héroïne orpheline consciente de son physique ordinaire, un personnage masculin maussade doté d’une épouse “présente-absente” et une intendante dont le tempérament influence l’atmosphère du manoir dans lequel l’héroïne réside temporairement. Stoneman est Rebecca d’Alfred Hitchcock (1940) d’après le roman à succès éponyme de Daphné Du Maurier paru en 1938. L’un des avatars les plus intéressants mentionné par P. Dans le quatrième chapitre de son ouvrage intitulé Brontë Transformations (1996), Patsy Stoneman révèle l’importance des reprises et transformations dont a fait l’objet Jane Eyre (1847) de Charlotte Brontë dans diverses pièces de théâtre, romans et films depuis sa publication initiale.
